Travailler au sein du réseau Sereni vous permet désormais d’avoir le temps de réaliser pleinement votre passion pour votre métier. Sereni vous décharge de nombreux soucis, ce qui vous laisse aussi du temps pour avoir une vie à côté du travail.
L’union fait la force.
De nombreux entrepreneurs de pompes funèbres expérimentés font déjà partie du solide réseau Sereni. Nous vous livrons ci-dessous quelques témoignages personnels.
Pedro Vandamme s’intéresse à la profession de son grand-père et reprend l’entreprise en 1993.
En 2013, Pedro et sa femme, Cindy Verbeke, reprennent l’entreprise. Bien que Pedro s’appelle « Vandamme », il n’a jamais envisagé de changer le nom de l’entreprise. Au contraire, par respect et fierté pour tout ce qui a été accompli par son grand-père, il perpétue les activités de « Begrafenissen Bloyart bvba » en s’y dévouant corps et âme.
L’entreprise rejoint aujourd’hui le groupe Sereni. « D’un côté, vous avez un peu l’impression de devoir abandonner votre « enfant », mais de l’autre côté, vous allez encore pouvoir poursuivre son éducation. Vous voulez que tout se passe bien. Avec la reprise par Sereni, Begrafenissen Bloyart reste entre de bonnes mains. C’est également la principale raison qui a motivé notre décision. Nous nous retrouvons dans leur façon de travailler », conclut Pedro Vandamme.
Luc Servaty découvre le secteur à l’âge de 16 ans, alors qu’il travaille comme apprenti chez un tailleur de pierre. Il participe aussi activement à la vie de l’église, ce qui le familiarise avec les services funéraires.
À l’âge de 20 ans, avec l’aide de ses parents, il franchit le pas et devient entrepreneur de pompes funèbres. Nous sommes alors en 1981 et le magasin d’Ostende a une façade d’à peine trois mètres. Lors de l’inauguration, il entend la concurrence parler de lui : on ne lui donne même pas six mois.
Mais Luc relève le défi et déclare : « Je vais leur prouver que je peux durer plus longtemps. »
Et il y parvient. Les habitants d’Ostende trouvent « ce jeune gars » sympathique. Il fait plus que ce que l’on attend de lui, il prend son temps, prête une oreille attentive. « Vous êtes au service des gens, vous voulez avoir le sentiment de leur avoir été utile, ce n’est pas un commerce. » Le premier bâtiment s’avère rapidement trop petit et en 1990, Servaty ouvre le premier funérarium d’Ostende. Plus tard, il ouvre un auditorium de 150 places. Son épouse et son fils travaillent avec lui dans l’entreprise.
C’est dans les années 1960 qu’est née la passion d’André Lenchant qui ne le quitterait plus : accompagner les gens lors d’une des périodes les plus intenses de leur vie : la perte d’un proche.
En 1978, il décide de suivre son instinct et accepte l’offre d’emploi d’une entreprise de pompes funèbres. Dix ans plus tard, avec sa femme Lut, il ouvre sa propre affaire dans la Tuyaertsstraat à Boom. « Offrir des adieux dignes à la vie » devient leur devise.
Après 42 ans, André Lenchant et son épouse peuvent contempler avec satisfaction, fierté et gratitude leur carrière bien remplie en tant d’entrepreneurs de pompes funèbres. Ils préparent à présent leurs propres adieux à la vie professionnelle. Ils ont trouvé en Sereni un partenaire fiable qui partage leurs valeurs. « Je suis très enthousiaste et soulagé que nous ayons trouvé un partenaire solide. Chez Sereni, notre entreprise est entre de bonnes mains », déclare André. « J’ai une totale confiance dans le fait qu’ils dirigeront notre entreprise, que nous avons construite avec tant de soin, avec la même énergie et la même attention. »
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