Nous ne vous laissons pas tomber et restons à vos côtés même après les funérailles. Nous offrons une assistance sur le plan émotionnel, administratif et fiscal. Voici quelques exemples de questions que vous pourriez vous poser. N’hésitez surtout pas à nous contacter pour discuter de votre situation personnelle.
Suivi émotionnel
Chacun fait son deuil de manière très personnelle et différente.
Lors d’un entretien de suivi post-obsèques, nous pouvons, si vous le souhaitez, vous orienter vers un professionnel pour un soutien, une aide ou une thérapie. Contactez-nous sans engagement si vous avez des questions à ce sujet. Nous examinerons ensemble votre situation et ce qui est possible.
Pensez aussi à lire nos sources d’inspiration sur ce sujet.
La qualité de nos services est la priorité de Sereni. Nous n’avons de cesse de nous améliorer, pour vous et votre entourage. Votre avis et vos suggestions sont très importants pour nous. Faites-nous part de votre avis au moyen de notre formulaire qualité ou contactez votre/un partenaire funéraire.
Il va de soi que nous nous engageons à respecter la vie privée des proches.
Suivi administratif
Informez le SPF Mobilité et Transports de ce qui va se passer avec ce véhicule. En cas de décès, la plaque d’immatriculation de la voiture du défunt peut être radiée ou transférée au nom du conjoint survivant, du cohabitant légal ou de l’un des enfants.
La voiture du défunt fait partie de la succession et les héritiers héritent donc ensemble de la voiture. Les héritiers sont tenus, dans les quatre mois suivant le décès, de transférer le certificat d’immatriculation au nom d’un des héritiers ou d’un nouveau propriétaire. Si vous êtes le partenaire du défunt et que vous souhaitez conserver la voiture, vous devez également transférer le certificat d’immatriculation à votre nom dans ce délai de 4 mois.
Prévenez la compagnie d’assurance du véhicule
Par ailleurs, il est important que vous informiez du décès la compagnie d’assurance du défunt. Car si vous continuez à conduire la voiture du défunt, il faut que l’assurance soit valable. Le défunt ne peut en effet pas assurer un véhicule.
Dans la mesure du possible, les abonnements et les affiliations doivent être résiliés le plus rapidement possible. Cela permet d’éviter des frais inutiles et des situations potentiellement douloureuses.
Tout comme pour l’assurance obsèques, par exemple, il faut souvent envoyer un acte de décès pour résilier des abonnements et des affiliations.
Renseignez-vous sur les fournisseurs d’eau, de gaz, d’électricité, de téléphone, de télévision, d’Internet, etc. et informez les entreprises concernées du décès. Si nécessaire, vous pouvez faire adapter les contrats pour qu’ils soient à votre nom.
Pensez aussi aux abonnements à des journaux, livres, certains services…
Parfois, vous trouverez une page contenant des informations utiles sur les sites web des fournisseurs.
Nous examinons en détail avec vous le volet administratif et dressons la liste des formalités administratives à accomplir.
Suivi fiscal
Les droits de succession sont l’impôt flamand sur les successions. Ceux-ci sont calculés sur la valeur des biens laissés par le défunt. En tant qu’héritier, vous devrez introduire une déclaration de succession auprès de l’administration fiscale flamande, sur la base de laquelle les droits de succession sont calculés.
Vous trouverez plus d’informations à ce sujet auprès des autorités flamandes, mais n’hésitez surtout pas à nous contacter pour toutes vos questions spécifiques.
Toute personne qui reçoit des biens provenant du patrimoine du défunt doit payer des droits de succession sur la valeur des biens acquis.
L’administration fiscale calcule les droits de succession en fonction de
- La valeur de l’héritage que vous recevez
- Le degré de parenté avec la personne décédée
Plus le montant est élevé, plus vous devrez payer de droits de succession. Plus le degré de parenté qui vous unit au défunt est proche, moins vous payerez de droits de succession.
Les droits de succession varient d’une région à l’autre. C’est le domicile fiscal du défunt au moment de son décès qui détermine la législation applicable (flamande, bruxelloise ou wallonne). Si au cours des cinq ans précédant son décès, le défunt a habité à plus d’un endroit en Belgique, on prend en considération le lieu où le défunt a habité le plus longtemps durant cette période.
Nous pouvons établir avec vous une vue d’ensemble de la situation et calculer les droits de succession. Contactez votre partenaire funéraire pour plus d’informations.